Hier soir, j'ai porté pour la première fois une cage de chasteté. C'est un cadeau offert par ma Maîtresse, que nous avons commandé ensemble sur internet et que nous avons reçu par la poste cette
semaine. J'avais très hâte de l'essayer, cela faisait longtemps que j'en avais envie.
Ma cage est est en acier inoxydable, courbée vers le bas, fermée par un cadenas et vient avec un choix de deux têtes interchangeables que l'on peut dévisser au besoin : une complètement fermée
sur le gland et l'autre comportant des fentes pour permettre d'uriner sans la retirer. De plus, elle est livrée dans une superbe petite valise noire et acier, rembourrée de styromousse pour le
rangement.
Ma Maîtresse est venue me rejoindre après le travail et nous sommes allés souper au resto ensemble. Puis, nous sommes rentrées et nous avons débouché une bouteille de mousseux avant de prendre
nos douches.
Sans plus de cérémonie, Madame m'a entraînée vers la chambre pour que nous allions essayer mon nouveau jouet. J'ai emprisonné mes testicules dans l'anneau d'acier lourd et froid puis j'ai enfilé
ma queue de truie dans la gaine étroite. Ma Maîtresse a ensuite cadenassé le tout. Elle m'a longuement inspectée. Elle semblait à la fois amusée et excitée. Pour ma part, j'éprouvais des
sensations exquises. Le poids de l'attirail tirait mes couilles vers le bas et le trouble de me savoir si obscène et si impuissante me faisait tourner la tête.
Madame s'est mise à soupeser mes bourses, à agacer la peau tendre de mon pubis rasé, à faire cliqueter ses ongles sur le tube en acier. Ma queue de truie bandait à craquer dans la cage. Mon sexe
comprimé remplissait tout l'espace disponible dans sa prison de métal qui n'était déjà plus du tout froide...
Pour ajouter à ma détresse, ma Maîtresse m'a léché les couilles en me regardant droit dans les yeux, sans dire un mot. Je haletais et je gémissais comme la pauvre cochonne en rut que je suis.
Écrasant mes testicules gonflés à craquer d'une main, elle a ensuite entrepris d'astiquer le cylindre d'acier qui emprisonnait ma bite de l'autre, créant un mouvement de va-et-vient aussi
douloureux qu'excitant. La peau de mon sexe et de mes couilles était tendue à craquer, mon membre pulsait comme s'il allait littéralement exploser. Je couinais désormais sans la moindre retenue,
ondulant du bassin pour aller à la rencontre de la paume de ma délicieuse tortionnaire.
Je ne pus résister longtemps à ce traitement et je jouis bientôt en grognant très fort, envoyant de copieuses giclées de sperme s'écraser contre le capuchon d'acier où butait mon gland. Ma Maîtresse, qui ne m'avait pas quittée des yeux, sourit d'un air satisfait, tandis que je m'éloignais pour aller nettoyer mon dégât à la salle de bain...
Je sens que nous passerons encore bien d'autres merveilleux moments ensemble, Elle, moi et mon nouvel ami...
Babe
xXx
